Recherche de capteurs

M Chalumeau et M Chevrier, nous ont fait la liste des contraintes a respecter pour que les capteurs puissent rentrer dans la nacelle (car, si on ne respecte pas les contraintes ils ne pourront pas rentrer) et puissent se connecter à la carte Kikiwi et ne consomment pas trop d’énergie. Voici la liste :

  1. Les capteurs doivent respecter une température spécifique pour que quand ils seront en altitude, ils puissent fonctionner
  2. Les capteurs doivent être analogiques car la carte kikiwi est analogique.
  3. Les capteurs doivent respecter un poids car la nacelle doit avoir un poids de 1,6 kg pour que le ballon puisse décoller car si la nacelle est trop lourde et dépasse le poids elle ne pourra pas décoller.
  4. Les capteurs doivent respecter une taille car tous les capteurs que les élèves auront choisis doivent rentrer dans la nacelle car si les capteurs sont trop grands ils ne vont pas pourvoir tous rentrer dans la nacelle.
  5. Les capteurs doivent respecter une tension et ne pas la dépasser car si il dépasse la tension 5 volts la batterie ne pourra pas alimenter et les capteurs ne pourront pas fonctionner.
  6. Les capteurs doivent pouvoir mesurer les valeurs qu’on trouvera en altitude : ex : pour mesurer la température en altitude il nous faudra un capteur qui enregistre des valeurs de -40° C au moins.

Aujourd’hui nous avons fait des recherches sur différents capteurs. Exemple :

  1. Température
  2. Humidité
  3. Pression
  4. Lumière

Nous avons complété un tableau avec les différents capteurs que nous avons trouvé, nous avons écrit une lettre à Monsieur Chevrier et à Monsieur Chalumeau pour savoir si ils peuvent nous fournir les capteurs que nous avons choisis, et si les capteurs sont bons pour aller dans la nacelle. Nous avons fait nos recherches de capteurs sur un site internet qui vend des composants électronique. Laeticia et Pierre.

Venue de nos suiveurs

Aujourd’hui nous avons reçu des personnes travaillant au CNRS : Sébastien Bouillon, Stéphane Chevrier et Gilles Chalumeau. Ils ont fait une intervention pour présenter le ballon sonde. Nous leur avons posé des questions sur nos choix de capteurs : capteur de radioactivité, capteur d’humidité, capteur de nuages (qui en fait sera un capteur de luminosité car quand on sera dans un nuage on ne captera rien et quand on ne sera pas dans un nuage on captera beaucoup de lumière ,… ), capteur de pression, capteur de température. Ils nous ont expliqué que pour des raisons de sécurité la nacelle devra faire une taille très précise au cas où elle tombe sur des gens ou quelle croise un avion en plein vol. Ils nous ont présenté quelques contraintes que nous allons devoir respecter, comme la carte kikiwi qui nous impose le fait de n’avoir que six appareils branchés qui transmettent en permanence avec la Terre. Marie, Elyna, Adèle.

Découvrir notre projet

Aujourd’hui, nous nous sommes répartis par groupe de 4. Et comme nous ne connaissions pas grand chose aux ballons stratosphériques, nous avons fait quelques recherches :

G1 : Nous avons travaillé sur les différentes couches autours de la terre. Le ballon sera envoyé jusque dans la stratosphère ( 50 km de la terre). On risque de croiser quelques avions !

G2 : Nous nous sommes questionnés sur les gaz susceptibles d’être utilisés pour faire monter notre ballon. Nous avons remarqué que le gaz le plus approprié pour le ballon est l’hélium car il ne s’ enflamme pas et il est très léger .

G3 : Nous avons présenté au reste de la classe, une petite chronologie des « ballons » (nous avons parlé de la première montgolfière, des premiers ballons sondes et du premier dirigeable)

G4 : Nous avons expliqué ce qu’était un ballon sonde. L’altitude qu’il atteindra, (environ 34 km de la terre) l’équipement embarqué, …

G5 : Nous nous sommes interrogées sur la pression. Nous avons trouvé que la pression diminue en altitude. Sur terre la pression est de 1015 hectopascals (HPal)

G6 : En travaillant sur la température, nous avons recherché sur internet et trouvé que nous perdons 1°C tous les 150 mètres d’altitude. (C’est donc pour ça qu’il fait froid en montagne)

G7 : Nous avons travaillé sur les nuages et la vitesse du vent. Il est probable que le ballon se décale en altitude car le vent est de plus en plus fort.